Alors que les grands départs en vacances se préparent, Bip&Go a voulu en savoir plus sur la relation qu'entretiennent les Français avec leur voiture. Résultat ? Une photographie contrastée de la mobilité hexagonale, où se dessinent deux France bien distinctes : celle qui vit au rythme de ses trajets quotidiens… et celle qui cherche à réduire la place de la voiture dans sa vie.
Qui sont les Français au volant ?
Si la voiture a longtemps symbolisé la liberté, aujourd’hui elle cristallise des usages et des besoins très variés.
Pour 36 % des sondés, c’est avant tout
le confort et la liberté de mouvement
qui les incitent à prendre le volant. Loin derrière arrivent l’absence d’alternative (14 %) ou les impératifs professionnels (13 %). Le plaisir de conduire, lui, reste bien vivant chez 8 % des automobilistes. Enfin, pour 5 %, il s’agit tout simplement d’
une habitude ancrée dans le quotidien
.
Mais ce que l’étude révèle surtout, c’est une
véritable fracture de rythme
:
•
34 %
des Français se considèrent comme des
grands rouleurs
(+400 km/semaine),
•
43 %
comme des
rouleurs moyens
(200–400 km/semaine),
•
22 %
comme des
petits rouleurs
(-200 km/semaine).
Deux visions de la mobilité émergent donc : d’un côté, une France
accro au volant
, de l’autre, une France
en transition
.
Les grands rouleurs : la route dans la peau
Chez les grands rouleurs, la voiture est un vrai mode de vie :
•
30 %
roulent beaucoup pour des
raisons professionnelles
,
•
25 %
pour rester proches de leur
famille éloignée
,
•
13 %
n’ont simplement
pas d’alternative
.
• Et
1 sur 5
continue de conduire avant tout par
plaisir de découverte
.
Résultat ? Ce sont eux les plus attachés à leur voiture.
Pour 51 % des Français, il serait impossible de s’en passer un mois entier
, un chiffre encore plus élevé chez les grands rouleurs. Pour eux, la voiture reste
l’alliée indispensable
de la liberté de mouvement.
Et les petits rouleurs dans tout ça ?
De l’autre côté du pare-brise, les petits rouleurs composent autrement :
•
1 sur 3
limite ses trajets pour des
raisons de coût
,
•
29 %
bénéficient d’un
mode de vie urbain adapté
,
•
17 %
misent sur les
transports alternatifs
,
• Et seuls
12 %
invoquent une
motivation environnementale
.
Ces automobilistes montrent qu’une
mobilité plus raisonnée est possible
. Et même si seulement
13 %
des Français pensent pouvoir facilement se passer de leur voiture pendant un mois, eux le prouvent (presque) chaque jour.
Vacances d’été : des choix qui en disent long
Quand il s’agit de vacances, les stratégies varient :
•
29 %
privilégient un
trajet direct vers une destination éloignée
,
•
24 %
optent pour un
road trip
avec plusieurs étapes,
•
24 %
feront des allers-retours
depuis chez eux
,
•
14 %
choisissent une
destination fixe
avec des excursions à proximité,
• Et
9 %
sélectionnent leur destination
en fonction de la distance
à parcourir.
Côté émotions :
•
37 %
des automobilistes associent le
trajet au plaisir de partager
un moment en famille ou entre amis,
•
34 %
savourent l’
excitation du départ
,
• Mais
22 %
redoutent les
bouchons
,
• Et
6 %
subissent le
stress
de la conduite.
Même pour un simple week-end prolongé, les Français ne reculent pas :
•
39 %
parcourent entre
100 et 300 km
,
•
29 %
vont jusqu’à
500 km
,
•
8 % dépassent les 500 km
!
• Mais dans tout ça,
47 %
estiment que leur manière de conduire n’a pas changé depuis 5 ans. Une stabilité qui cohabite avec de nouveaux questionnements.
Ce que cette étude nous dit
Cette étude signée Bip&Go montre à quel point la voiture reste
au cœur de la vie des Français
. Mais elle révèle aussi une France qui se cherche, teste de nouvelles pratiques, et commence à repenser sa façon de bouger.
Chez Bip&Go, on est bien placés pour le voir : nos abonnés, qu’ils soient petits ou grands rouleurs, réguliers ou occasionnels, partagent un point commun – celui de vouloir
gagner en liberté et en simplicité
sur la route.
Alors, quel que soit votre profil,
bonne route à toutes et à tous cet été
!